Esprit de famille, Le domaine de l’Oben

En 2022, l’oliveraie familiale est reprise par Laura et Benjamin Grandjean, anciens ingénieurs passionnés de nature et souhaitant retourner à leurs racines.

Ils s’appliquent à perpétuer le savoir-faire traditionnel transmis par Raymond Gonfond et à sublimer l’exploitation.

« En fabriquant de façon artisanale, nous mettons l’accent sur la qualité de nos vergers et notre terroir pour vous faire redécouvrir les arômes d’antan typiquement provençaux au travers de nos produits. En parallèle, cela ne nous empêche pas de nous moderniser afin de sécuriser nos process et de rendre plus agréable les conditions de travail. »

En juin 2023, la boutique est créée, permettant de vous accueillir dans cet écrin de nature puis en 2024, un moulin, permettant de triturer sur place les olives issues des vergers du domaine.

Découvrez nos produits

Plantation des oliviers

Hélène et Paul Gonfond avaient une profonde admiration pour l’olivier. Lors du gel de 1956, l’ensemble des plantations, dont certaines millénaires, a été affecté. Convaincus de la robustesse de cet arbre emblématique des Alpilles, Hélène et Paul, régénérèrent le verger le plus important de 12 hectares, composé principalement des variétés Salonenque et Aglandau. Un travail titanesque, entièrement à la main, qui porte maintenant ses fruits depuis plusieurs décennies.

En 1980, avec l’aide de leur fils Raymond, sera planté un verger de grossanes, donnant des olives noires que nous récoltons à maturité et qui font de délicieuses olives de bouches.
Par la suite, entre les années 1995 et 2002, des Picholines, Salonenques, Aglandaus et verdales seront plantés autour du mas agrandissant ainsi l’exploitation familiale.

A ce jour ce sont environ 10 000 arbres et 5 variétés différentes dont nous prenons soin au quotidien, dans le respect de la biodiversité et en harmonie avec la nature.

Venez nous rencontrer

Poème du Papé "L'olivier"

Lorsqu’il est soigné, il n’est pas d’arbre plus amical que l’Olivier
qui viendra plus beau à mesure qu’il prendra de l’âge.

En toute saison, il ne sera que plus attrayant, il s’amusera dans le vent,
brillera au soleil, ne craindra ni la pluie, ni la sécheresse.

Et si le malheur d’un grand froid ou d’incendie lui tombe dessus,
il repoussera de plus belle de ses racines jamais mortes.

L’olivier comprendra son maître, Les vieux paysans, en eux,
lui parlaient, le remerciaient pour ses olives et pour son huile.

Richesse qui faisait partie de leur vie, de ma vie.

Paul Gonfond